Longue la journée... Longue

Aïdo était la derrière le comptoir la caisse devant et presque aussi vide que depuis le matin, il était quand même deux heures de l'après midi et le fond de caisse n'avait presque pas bougé de la journée, franchement il arrive parfois que les journées soit dur, mais la y avait un abus quand même. Le deuxième employé balayant le sol commençait lui aussi à s'emmerder, il balayait pour passer le temps mais il en avait ras la casquette lui aussi de cette journée.

Aïdo: C'est long...

Akito : Y en a marre.

Aïdo: Si on n’a pas un client dans les trois-quarts d'heures qui suivent, je me couche sur le comptoir et j'utilise la caisse comme oreiller.

Il était vrais que le temps se faisait long, les gents passaient dans la rue et personne ne s'arrêtait au magasin, quoi les gents n'aiment plus les trucs ancien qui sont pourtant sympathique à avoir. Et surtout, la question qui trottait dans la tête d'Aïdo depuis plusieurs heures déjà, ou était donc Kiango son grand-père, la dessus il laissa échapper dans un grand cri.

Aïdo: MAIS IL EST OU CE VIEU !?

Ce ne fut que un quart d'heures plus tard que quelqu'un arriva enfin dans le magasin, c'était la libération d'Aïdo, il en avait assez de rester planter la à attendre que le temps passe et l'achève devant son comptoir, de manière de très discrètes il chuchota entre ses dents.

Aïdo : Alléluia... Bonjour, bonjour mademoiselle, bienvenue cher Kiango que puis-je pour vous? Herbe spéciale, livre, ou bien quelque chose d'autre de plus spécialisé. Nous vendront un peut de... De presque tout en fait. Donc qu'est-ce qui pourrait vous faires plaisir dans nos capacité

Après avoir quitté la maison d'Ienzo, Reika décida de retourner chez elle. Cette rencontre l'avait bouleversée au plus haut point et elle ne voulait qu'une seule chose, reprendre sa vie comme si de rien ne c'était passé. La pluie c'était estompé, mais le ciel n'envisageait rien de bon et Reika était sûr de se faire encore pogner par la pluie avant qu'elle ne puisse arriver chez elle. Elle devait se rendre chez elle a pied étant donné qu'elle avait laissé sa bicyclette au magasin... Sur sa route, Reika regardait partout autour d'elle, curieuse. C'est alors qu'elle vit une boutique qu'elle n'avait jamais vus avant. Ok, c'est vrai, Reika ne passait pas souvent dans ce quartier a pied, elle passait souvent a vélo, donc elle n'avait pas le temps de regarder autour d'elle. Elle regardât la pancarte qui annoncait: "Chez Kiango". Très curieuse et voulant se changer les idées, Reika décida d'entrer dans le magasin. Aussitôt entrer, elle remarqua que c'était une boutique d'antiquités.

* Intéressant... Je me demande... *

Reika se demandait si cette boutique possédait des trucs appartenant à sa famille. Car, avant la tragédie, sa grand-mère avait vendu plusieurs objets leur ayant appartenu dans le passé dans la métropole, Tokyo. Reika fut tiré de ses pensées lorsqu'un jeune homme l'accueillit très chaleureusement. La première chose qu'elle remarqua chez le jeune homme, c'était ses yeux. On dirait que Reika a un don pour remarquer ça! xD

- Wow...

Gênée de fixer le jeune homme comme ça, Reika détourna le regard, ses propres yeux brillaient, car ils étaient encore en "miroir". Lorsque le jeune antiquaire lui demanda ce qu'il pouvait faire pour elle, Reika le regardât à nouveau et prit un air le naturel possible.

- Heu... Je me demandais si vous possédiez des items appartenant à la famille Inukami d'Okinawa?

Ne voulant pas en dire plus sur elle, la famille Inukami n'avais pas bonne réputation et Reika ne voulait pas que cette réputation lui colle à la peau, elle regardait toujours le jeune homme avec des yeux magnifiques.

Aïdo attendit la réponse de la jeune fille en face de lui, il gardait un garnd sourir très sincère, c'était le même sourir qu'il présentait à ses clients à l'habituel. Cette nouvelle cliente semblait un peut génée, peut être n'avait elle pas l'habitude de gents aussi enthousiaste. En effet Aïdo était quelqu'un de joyeux, il écouta la question de la jeune femme, elle voulait savoir s'ils n'avaient pas d'objet appartenant à une famille du nom de... Inukami.

- Heu... voyons voir, attendez je regarde la liste. Hum, je trouve rien. Peut d'il y a quelque années alors.

La joie du jeune homme s'effaça et l'aissa place à un certain agacement, en fait il devait demander à son grand père et il ne savait pas ou celui-ci avait bien put se cacher.

- Putain... seul mon grand père peut me dire quelque chose sur les archive et forcément ce vieu crouton dopé aux hormones a disparut depuis ce matin. Enfin bon je pense que je peut quand même vous trouvez quelque chose en attendant. Hein?

Le téléphone se mit à sonner, enfin les chose reprennait du travail, Aîdo avait vut la journée passé tel une tortue avec ce manque d'activitée, il s'excusa devantla jeune fille et lui demanda de patienter un instant.

- Allo bonjour, bienvenue à la boutique de "cher Kiango" que puis-je pour vous servir? Non monsieur pour la éniemme fois le magasin "cher Kiango" n'est pas un sex-shop, nous ne vendont pas de gode-michet. Oui c'est ça dommage, et faite passer le message, vous êtes le quinzième en un mois. Bon, alors j'en était ou moi, à oui. Donc mon grand père, Kiango devrait arriver d'ici peut j'entend déjà ses sandale claquer sur les pierre du jardin.

Kiango: Ha bonjour Aîdo désolé de l'absence j'ai eu du boulot et... Hooo une jeune cliente, tu ne lui a pas sauter dessus aïdo au moins? hé hé hé...

- Mort de rire, tu sais très bien que c'est pas mon style de sauter tout ce qui bouge.

Reika sursauta au langage ordurier du jeune homme. Elle n'y était pas habituée, mais quelque chose lui disait qu'elle devrait s'y habituer maintenant. Lorsqu'il lui demanda d'attendre, car le téléphone sonnait, Reika resta là et regardât autour d'elle. Plusieurs objets semblaient intéressant. La jeune réincarnation remarqua un gros coffre très beau, il lui plaisait, mais... il était beaucoup trop gros pour qu'elle puisse le transporter par elle-même. Reika ne possédait pas d'auto et sa bicyclette était hors de porter et même si elle l'avait eu, le volume imposant du coffre aurait brisé son vélo en une fraction de seconde. Étrangement, ce coffre lui était très familier...

- Oh mon Dieu...

Ce coffre venait de sa famille! Ce coffre contenait son arme, le boomerang-miroir, avant que sa grand-mère ne s'en débarasse pour X raison... Reika fut tiré de son passé par la conversation du jeune homme qui parlait au téléphone. La conversation était vraiment bizarre, mais surtout très drole! xD Reika ne put s'empêcher de rigoler. Peu de temps après, un vieil homme la fit sursauter. De la conversation et de la logique naturelle de Reika, elle en déduit que le vieil homme s'appelait "Kiango". Ce que dit l'homme par la suite, fit rougir Reika comme une tomate. Elle dit doucement à l'intention de ceux qui voulaient bien l'écouter...

- Je ne suis pas ce genre de fille, monsieur...

Sa voix était remplie de timidité et sa réaction était visiblement d'une personne très gênée.

Aïdo sentit la gène de la jeune femme, évidemment les callembour de son grand père ne faisait pas dans le tendre, le jeune homme n'aavit pas ermarqué l'intéret certain que la demoiselle avait eu pour le coffre, celui-ci semblait avaoir appartenue à la famille de celle-ci mais comment Aïdo pouvait il savoir cela? Kiango ne lui disait les chose qu'au dernier moment, comment pouvait il réagir de manière autonome si ce vieu ne lui disait rien. L'ancien allat ramasser quelque merdouille dans son petit coffre personnel, la dessus Aïdo se permit de demander à son grand père.

- Heu grand père, tu saurais pas s'il y a des objet à la famille... Inukami?

Kiango: Hum... Inukami. Je crois que oui en effet il y a une sorte de coffre ayant appartenu à une certaine Inukami, il y a un certain temps.

- y ressemble à quoi.

Kiango: un coffre en bois.

- S'il te plait papy ne me fait pas le coup de l'amnésie je sais que tu as pleine possession de ta tête malgré tes 98 ans. Ou est ce coffre, ça fera rentrer un peut d'argent à la caisse.

La dessus Kiango demanda à Aïdo d'aller chercher la grosse boite que le jeuen demoiselle avait remarqu" à un l'instant, en la soulevant Aïdo faillit bien se faire un tour de rein en se demandant ce qu'il y avait la dedans pour être aussi lourd, ce n'était pas normal de se trimballer un tel merdier voyon. Il posa lourdement l'objet en question sur le bureau en soufflant un bon coup.

- Pfff... On en fait quoi maintenant?

Kiango: Silence... Je cherche un prix à donner à ce coffre, ni trop cher mais pas non plus trop donné.

Reika rigolait doucement à la scène qui s'offrait à elle, entre le vieux monsieur et le jeune homme aux yeux magnifiques. Lorsque le jeune homme demanda à son grand-père s'il possédait des objets ayant appartenu à la famille Inukami, la famille de Reika...

* La famille maudite oui... *

Le visage de Reika montra clairement un sentiment de tristesse intense. Les souvenirs de Reika était très douloureux alors, elle évitait d'y penser outre mesure. La jeune réincarnation fut sortie de ses souvenirs lorsque le jeune homme se fit presque mal en soulevant le coffre qui lui était familier. Reika sursauta et voulu l'aider, mais il finit par emmener le coffre vers le comptoir et il semblait essouffler... Avec raison! s'approchant du comptoir, elle s'inquiéta pour le jeune homme.

- Sa va? Vous n'êtes pas trop blesser?

Lorsque le vieil homme dit au jeune homme qu'il cherchait un prix pour le coffre, Reika regarda le vieil homme et elle sourit doucement.

- Votre prix est mien monsieur. Ce coffre.... appartenait.... a...

Avant de continuer sa phrase, Reika pris une grande inspiration et soupira.

- Ce coffre appartenait à ma famille. Ou... Ce qu'il en reste. Voilà pourquoi, j'ai besoin de ce coffre chez moi. Dites-moi votre prix Kiango-sama et je vais payer.

Reika n'osa pas en dire plus sur sa famille. Elle se doutait que le vieux monsieur devait connaitre l'histoire et la mauvaise réputation de la famille Inukami, par contre, Reika ne savait pas si le jeune homme la connaissait, voilà pourquoi Reika se tut. Fouillant dans son sac pour trouver son porte-feuille, Reika remarqua qu'elle n'avait pas ses lunettes de soleil et c'est à ce moment qu'elle se souvint que ses yeux étaient encore en miroir, une fois son porte-feuille sortie, Reika fit comme si rien n'était. Regardant le jeune homme, Reika rougit un peu et détourna le regard vers le coffre et c'est là, qu'elle remarqua que celui-ci étais verrouiller avec un gros cadenas en argent massif serti de pierre Opale. La jeune réincarnation se souvint qu'elle possédait une clef qui ressemblait aux motifs du cadenas. Elle n'avait jamais trouvé le verrou, maintenant oui, cette clef ouvrait ce coffre. Toutefois, elle ne savait pas ce que contenait le coffre... Sa grand-mère s'en étais débarrassé lorsque Reika avait 10 ans, quelques jours avant le génocide... Ce que Reika ignorait étais que sa grand-mère avait mis des objets appartenant à un évènement que Reika a vécu et que sa famille lui avait fait oublier... Sa grand-mère c'était débarrassé du coffre espérant que Reika ne le retrouve jamais et l'ouvre... Ignorant tout ça, Reika restait fascinée par ce coffre. Attendant la réponse du vieil homme, Reika regardait le jeune homme et rougit.

Aïdo regarda le jeune demoiselle un instant, elle semblait vraiment timide, puis il regarda de nouveaux le coffre, c'était pas un coffre de merde ça, plutôt beau pour un simple coffre, il devait avoir de la valeur pour être si beau, la famille Inukami n'avait pas des objet de basse qualitée en tout cas. MAis cette jeunette ne pourrais jamais se trimballer ce coffre jusque cher elle toute seule, il allait devoir faire un peut de livraison à domicille pour qu'elle puisse le ramenner cher elle.

Kiango: Ho ho, vous êtes bien adorable, je suis gentil. Je vous le mettrait à 2000 Yens (C'est pas cher pour eux.), plus la livraison à domicile, parceque ne croyez pas que je vais vous laissez transporter ce coffre qui pèse un âne toute seule, ça vous fera 2500 Yens au totale. Aïdo vous aidera à le transporter.

Soudain Kiango prit le coffre dans ses mains et le lança à Aïdo comme s'il s'agissait d'un jouet, alors qu'Aïdo lui même le rattrapa de justetesse manquant de peut de s'éraser au sol sous le poid du coffre.

- D'accord, moi aussi je pensait à l'aider à ramenner le coffre cher elle, mais pas la peine de me lançer le coffre comme ça, j'aurais put me vautrer.

Kiango: Mais tu ne t'es pas vautré... Donc c'est bon. En attendant met le sur le caddis à bagage lourd, tu le livrera plus tard, il va pleuvoir d'ici peut. Et pour vous jeunette, restez donc un peut avec nous.

- Ouai bonne idée... On ne reçoit jamais personne à la maison. LA famille est très dispersé en effet. Ce serait agréable de vous recevoir.

Kiango: Bien dit Aïdo. Et si jamais elle refuse, use de tes charmes pour la faire rester.

- Ha non ne remet pas cette blage vaseuse sur le tapis.

La jeune fille avait à faire à une scène quotidienne de la vie d'Aïdo, humour et pétage de plomb était habituelle entre Kiango et Aïdo. Comme toujours Kiango bien malgré ses 98 ans semblait en pleine forme, il avait le physique d'un homme très agé mais l'énergie d'un jeune. Pour preuve il avait traversé toute la pièce en moins de trois secondes, afin de rappeller quelque chose à son employé.

- Ralala, vous en faites pas, j'ai l'habitude, il est vieu mais il en a à revendre. J'ai jamais pu comprendre comment on avait autant d'énergie en étant si vieu.

Soudain un petit oiseau s'installa sur la fenetre pour se protéger de la pluie, par reflexe Aïdo vint vers l'oiseau qui neprit absolument pasp eur, au contrairement il monta sur le doigt qu'Aïdo lui présentait, celui-ci le posa sur une petit perchoir qui était équipé d'un petit nid confectionné par le jeune homme, avec de quoi laisser l'oiseau manger.

- Oui en effet j'adore les animaux, je pense qu'ils sont les meilleurs amis que l'on puisse avoir, lorsqu'on sait bien les traiter.

Lorsque Kiango lui dit le prix du coffre, Reika sourit. Honnêtement, elle aurait cru que cela lui couterait plus cher. Heureuse, elle regarda le vieil homme.

- C'est parfait monsieur Kiango.

Pendant que la jeune réincarnation chercha son porte-feuille dans son sac, elle entendit la conversation entre les deux hommes. Grâce a la conversation, Reika se mit a rougir à nouveau lorsque le vieil homme dit à Aïdo d'utiliser ses charmes si Reika ne voulait pas rester. Rouge comme une tomate et toujours cherchant son porte-feuille, Reika pensa à voix haute.

- Tu n'as pas besoin de faire grand-chose pour me faire rester, Aïdo-kun...

Réalisant ce qu'elle venait de dire, Reika senti sa pression artérielle grimper à un dangereux niveau et rougit encore plus. C'est justement à ce moment qu'elle trouva son porte-feuille. Toujours rougissant, Reika paya Kiango, elle lui donna 3000 Yen. En lui donnant l'argent, elle expliqua la raison simple de ce montant de plus.

- C'est pour vous remercier de votre hospitalité et... *regarde Aïdo* Et j'accepte de rester avec vous jusqu'à ce que la pluie cesse.

Le visage de Reika rayonnait d'une douceur et d'une gentillesse propre à la famille Inukami. Bien sûr, sa famille avait une réputation louche, mais ils étaient, également, réputer pour leur grande hospitalité et leur gentillesse et la jeune Reika avait été élevée de cette façon. Attendant la réaction des deux hommes, Reika rangea son porte-feuille dans son sac messager. La jeune fille regardait Aïdo, de ses yeux miroirs et scintillant.

Aïdo regarda Reika avec un grand sourire bienveillant, Aïdo était queql'un de naturellement gentil, il n'était pas souvent agressif, ou bien s'était une agressivitée factice qui n'avait rien de sérieux, du moins la plupart du temps, il arrivait aussi à Aïdo de se mettre en colère, cela arrive à chacun. La jeune fille fit un commentaire par rapport au fait qu'il n'aurait pas beosin de la charmer pour la faire rester, même s'il rigolait en rougissant unpeut, il n'avait pas encore bien compris le sens de ses mots, il pensait juste qu'elle devait le trouver mignon, ce qui n'était pas faux.

- Ne dites pas ça vous allez me géner. Mais bon merci.

L'oiseau à présent dans le petit se mit à chantonner étant donné que celui-ci était au chaud, on ne comprennait jamais d'ou venait ce talent qu'avait Aïdo avec les animaux peut importe soit il, les animaux adoraient Aïdo et il les adorait lui aussi.

- Je pense qu'il va pleuvoir un petit moment, attendez, mon grand père doit pouvoir nous combien de temps il va pleuvoir. Grand-père Kiango, la pluie terminera vers quel heure?

Soudain Kiango sortit de sa poche des petit ossement, qu'il lança sur la table, elles tombèrent dans un position qui paraissait anodine pour Reika, maisp as pour Kiango, qui enchaina de suite.

Kiango: Demain matin, à sept heures trente six de matin à douze seconde.

- Je... J'en avait pas demandé autant, toi et ta divination quand même. Et le pire c'est qu'il a les 95% du temps raison, il ne se trompe presque jamais. Moi qui ne croyait pas que la divination excistait au début, je suis bien obligé d'y croire, bien queparfois il me fait peur avec ces divination bizarre.

Toujours rouge comme une tomate, Reika rigola à la réponse d'Aïdo. Lorsque le vieux monsieur Kiango sorti ses petits ossements, ceci surpris Reika par elle ne savait pas que quelqu'un d'autre avait cette faculté... La grand-mère de Reika pratiquait aussi ce type de divination lorsqu'elle était très jeune. Lorsque le jeune homme demanda à son grand-père quand il allait arrêter de pleuvoir, Reika écouta attentivement la réponse du vieil homme.

- Wow... Pour être précis, cela l'est...

Reika fut surprise de la précision du vieux monsieur et elle rigola à nouveau à la réponse du jeune homme qui n'était pas loin d'elle.

- Tu n'as pas à avoir peur de ce genre de truc, Aïdo-kun... Mais bon, vus qu'il n'arrêtera pas de pleuvoir d'ici demain matin, que dois-je faire? Rester ici ou bien...

Gênée a l'idée de passer la nuit chez quelqu'un qu'elle connaissait à peine, Reika rougit doucement. Son expérience avec Ienzo c'était assez mal passer et Reika était réticente à s'approcher de quelqu'un d'autre... Secouant doucement la tête pour chasser ces mauvaises pensées, Reika regarda Kiango et Aïdo comme si elle attendait leur réponse avec un peu d'Impatience...

- Quoique, je peux retourner chez moi, si je risque de vous poser problème...

La voix de Reika était douce et un peu triste. Cela n'était qu'à peine audible, mais ces émotions traites pouvaient être entendues dans la voix de la jeune ville si on portait vraiment attention à ce qu'elle disait.

Aïdo semblait être apprécié de Reika, il l'aimait bien aussi, elle semblait gentille, et assez timide apparement, elle hésitait à rester cher Aïdo et son grand père, en quoi cela pourrait il les géner? Il n'avait jamais de problème majeur avec autruit, aceuillir quelqu'un cher eux était une joie évidemment. Kiango relança de nouveau les petits ossement, bien qu'il le cachat dans sa longue barbe, son regard fut plus sérieux pendant un court instant, il venait de voir des choses à travers cette technique de divination, il pointa son regard vers son petit fils Aïdo, il avait toujours sut que malgré le fait qu'Aïdo était bon de nature, il aurait plus de facilitée qu'autruit à être attiré par l'obscur, Kiango avait seulement pour èspérence qu'Aïdo sache résister à de futur tentation obscur.

Kiango: Aïdo, je doit y aller. Je vais dans ma chambre afin d'utiliser mes autres technique de divination, j'aimerais voir certaine chose.

- Très bien, je ne te dérangerais pas.

Kiango: Merci mon petit, et n'oublis jamais ma petite phrase adorée, "reste à la lumière du soleil, et marche loin de l'ombre".

Aïdo se gratta la tête en souriant bètement, il n'avait jamais compris que cette phrase lui était adressé. Kiango savait qu'un jour ou l'autre la vie d'Aïdo allait basculer, Reika était arrivé, et elle n'était que la petite pierre qui allait provoquer un éboulement, Les jours suivant allait devenir très étrange pour le jeune homme. Ce que Kiango savait, même Aïdo ne s'en doutait pas, celui-ci avait intéret à pouvoir affronté les futur tentation du chaos qui se présenterons à lui. Il se retourna et dit avec un grand sourire.

Kiango: Aïdo, la pluie sera très forte aussi, prépare la chambre d'amis à notre invité veux-tu?

- Chef, oui chef. Ne t'en fait pas, mon grand père peut parfois paraitre spéciale, mais c'est un bon homme. Juste un peut exsantrique par moment, mais c'est pour ça qu'il est marrant.

Reika entendit la conversation bizarre entre Aïdo et Kiango. Que voulait-il dire par cette phrase? Bizarrement, cette phrase interpella Reika, elle avait la légère impression que ce n'était pas qu'un simple proverbe, mais que cette phrase était directement dirigée vers Aïdo... Voulant le demander directement a Kiango, Reika vint pour parler, mais le vieil homme étais déjà partis. Soupirant, la jeune fille se ravisa de lui parler... Lorsque Aïdo lui adressa la parole, Reika le regarda.

- Hehe, j'ai remarqué... Et heu... Merci pour votre hospitalité.

Poliment, Reika remercia Aïdo a la façon typiquement japonaise. Ceci fait, elle osa poser une question qui lui brulait les lèvres depuis qu'elle avait vus Aïdo.

- Hum... Aïdo-kun? Je me demandais... Comment se fait-il que tes yeux ne soient pas de la même couleur?

En disant ceci, Reika s'approcha de lui et le regarda droit dans les yeux. Les yeux de Reika, quant à eux, reflétait les yeux d'Aïdo... Étant encore dans leur stade "miroir", Reika ignorait que si elle regardait trop longtemps le jeune homme avec ses yeux dans ce stade, elle risquait de lui voler son âme malgré elle... La seule façon c'était qu'Aïdo, lui, détourne le regard avant que le "Soul Illusion" n'entre en scène...

Aïdo était à présent seule avec la jeune Reika qui semblait toujours aussi timide, l'hospitalitée était normal cher Kiango et Aïdo, ils avaient toujours vécu en étant agréable et bienveillant, ce qui faisait d'eux les résident du quartier les plus acceuillant. Il était facile de s'en faire des amis, mais le problème c'est qu'ils étaient toujours occupé à leur travaille donc pas trop le temps de fairem umuse pendant cette saison, cependant la saison était terminé, et donc il y allait avoir un certain vide dans le magazin.

- Tu verras, ici on se sent toujours bien. Cette maison est très simple, mais agréable.

Aïdo arborait toujours son sourir acceuillant et sincère, soudain Reika lui demanda pouruqoi il avait les yeux de différente couleur, c'était étrange pour elle, Aïdo ne pouvait pas tellement l'expliquer, il se gratta la tête en détournant le regard de manière pensive, il venait sans s'en rendre compte évité quelque chose de dangereux pour lui.

- Et bien, je ne saurais pas te le dire, je susi né comme ça, mes yeux ont toujours été ainsi. Chacun sa couleur, c'est comme ça que c'est venu mais je ne m'en plaint pas. Bah aller suis moi.

Aïdo se dirigea vers les escaliers pour ouvrir une des chambres d'invité, arrivé devant la porte le jeune homme sortit un grand trousseau de clé, il y en avait très exactement trente-six, mais aussi incroyable que cela pouvait paraitre Aïdo trouva sans même réfléchir la clé qu'il fallait pour ouvrir la porte, celle-ci s'ouvrit laissant voir une chambre d'invitée particulièrmeent soignée, il y avait plusieurs lit, et il y avait vraiment de quoi dire que cette amille devait autre-fois recevoir bien des amis.

- Bon et bien j'èspère qu'elle te plaira.

Lorsque Aïdo détourna le regard, Reika fit de même et, l'ignorant, ses yeux redevinrent normal, un bleu royal très profond. Honnêtement, la réponse du jeune homme avait satisfait la curiosité de Reika. Par la suite, Reika suivi Aïdo lorsqu'il lui demanda. Reika fixa le trousseau plein à craquer de clés en tout genre.

* Woah! C'est tout un porte-clés ça! Je me demande si c'est très lourd... *

Peu de temps après avoir aperçu le porte-clé encombré, Aïdo trouva la bonne clé pour ouvrir la porte qui était juste devant le petit couple d'adolescents. Reika fut ravie de voir l'intérieur de la pièce lorsque Aïdo ouvrit la porte. La jeune réincarnation entra dans la pièce et se mit à regarder un peu partout. Il y avait plusieurs lits simples tous bien aligner contre les deux côtés du mur, gauche et droite. La couleur des murs étais un beau bleu pâle et vaguement terne. La pièce avait une apparence mélangée... les meubles étaient typiquement japonais, mais la pièce et les couleurs avaient une touche occidentale. Ce qui faisait que cette pièce était vraiment très belle et joviale. Reika déposa son sac sur le premier lit à droite et elle se retourna doucement vers Aïdo.

- Merci, Aïdo-kun...

S'approchant du jeune homme, elle lui donna un calin. xD C'était la façon de Reika de dire merci à quelqu'un qui semblait gentil et Aïdo faisait partie de cette catégorie dans le dictionnaire de Reika!

Aïdo examina la réaction de Reika, elle semblaitvraiment apprécier la chambre, que du bonneur quoi, si elle étita contente Aïdo était content. Il l'aida à s'intaller dans la chambre afin qu'elle s'y sente comme cher elle. C'était peut commun que des gents reste les Asanare, et découvre la maison du vieux Kiango.

- Je vois que ça te plait, content de voir que tu te sente presque cher toi.

Aïdo s'empressa de faire le lit demanière à ce qu'il soit présentable pour quand l'heure de se coucher arrivera. Elle était vraiment adorable ce fille la pensa Aïdo, mais il préféra se concentrer sur lel it qu'il finit. A la grande surprise d'Aïdo elle lui fit un grand calin, cela surpris en effet le jeune homme, qui crut comprendre qu'elle devait dire merci de cette façon.

- Et bien de rien... C'est normal quand on reçoit des invités à la maison, de plus tu me semble être une personne plutôt agréable donc raison de plus pour t'offrir notre hospitalitée.

Aïdo avait un étrange pressentiment vis à vis de cette jeune fillle, mais quoi il ne savait opas ou cela voulait en venir. Ce qu'il ne savait pas, c'est que dans les prondeur de l'âme, Un être malsain était enchainé dans l'âme d'Aïdo, éveillé, patient pour un qu'à moment ou un autre, les chaîne qui le scelle se fragilise afin qu'il se libère de cette prison spirituelle. Ankan étiat djéà la, et il sentait son heure arriver. L'heure de son avènement était proche, sa présence maléfique était trop peut présente pour être perceptible par quelqu'un sans puissance ou de basse puissance.

Spoiler:

Lorsque Aïdo lui fit quelques compliments, n'étant pas habituée à ce genre de situation, Reika se mit a rougir un peu. Elle lâcha doucement le jeune homme et leva la tête pour le regarder. Étant très petite pour son âge, Reika n'avais pas trop le choix...

- Merci beaucoup, Aïdo-kun.

Par la suite, Reika en profita pour aller s'asseoir sur le bord du lit, bien placé par Aïdo. La jeune réincarnation regarda Aïdo et lui fit signe de venir s'asseoir à côté d'elle sur le lit.

- J'aimerais te connaitre un peu mieux, si tu as le temps...

Toujours souriante et rougissant de plus en plus, Reika, qui attendait la réponse d'Aïdo se perdit dans ses pensées. Elle pensa à tout ce qui c'était passé depuis peu de temps... Sa rencontre avec des personnes... comme cet homme qui lui avait dit des choses horribles, la venue d'Ienzo... son patron Hirokabayashi-san... Avec toutes ces pensées, Reika soupira. Par la suite, Reika regarda à nouveau Aïdo qui semblait également la regarder. Remarquant à nouveau ses yeux, Reika se mit à le fixer. xD Étrangement, elle était très fascinée par les yeux d'Aïdo.

Aïdo regarda Reika toujours avec son sourire amical totu ce qu'il y avait de sincère, encore une fois la jeune fille se mit à rougir, qu'avait elle à rougir ainsi à tout bout de champ, peut être était-ce une fille timide devant les garçons, enfin bon ce n'était pas bien grave, elle semblait apprécier la chambre c'était le principale du moment qu'elle s'y sentait bien.

- De rien, ça te fait plaisir c'est plus important alors met toi à l'aise.

Aïdo se mit à ouvrir les rideau afin del aisser la lumière entrer dans la pièce et aérer un peut étant donné que cette chambre n'avait pas été ouverte depuis quelque années. En effet ça ne sentaitpas mauvais, mais on sentait que la pièce était demeuré fermé depuis un long moment.

- J'ouvre pour que ça aère un peut, ça fait bien un moment qu'elle n'a pas été ouverte cette chambre, les fenetres encore moins alors.

Puis quelque seceonde plus tard, Reika lui demanda s'il avait le temps pour qu'elle puisse mieu le connaitre. Bien sur qu'il enavait, il avait toujours du temps libre pour les gents, le fait de travailler dans le magasin de son grand père ne lui prennait pas autant de temps que ça au bout du compte.

- Bien sur... Je n'ai aucun problème à ça. Hum? Encoer intrigué par mse yeux? C'est vrais que ça fait bizarre de voir yeux différent mais je ne pensaitp as que ça l'était autant.

Bien sur il dit cela sur le ton de l'amusement avec un grand sourir au lèvres.

Lorsque Aïdo se mit a rigolé à propos de ses yeux, Reika fit de même. Ignorant pourquoi elle était autant attirée par les yeux du jeune homme et sachant que ses propres yeux pouvaient être dangereux, Reika préféra détourner le regard. Par la suite, Reika fut contente de savoir qu'il avait du temps pour lui parler. Maintenant, elle se mit à réfléchir aux questions qu'elle pourrait lui poser pour mieux le connaitre, mais lorsque Aïdo s'approcha d'elle, un immense frisson lui parcourra l'échine. Reika regarda le jeune homme, perplexe. Elle savait maintenant qu'il y avait quelque chose de pas "normal" chez Aïdo, mais comment lui demander?

* Je ne sais pas comment lui demander... Devrait-je lui dire: "Hey, y'a quelque chose qui cloche chez toi! C'est quoi?" Nah... Trop direct... Plus subtil? *
- Hum, Aïdo-kun... Est-ce normal que j'ai ressenti un "petit" frisson a l'instant? Pourtant, il ne fait pas froid dehors...

Reika avait insisté sur le mot "petit", elle ne voulait pas alarmer Aïdo... Mais reste que Reika était embarrasser, elle ne rougissait pas, mais le malaise était facilement visible sur son visage enfantin. Ne voulant pas passer pour une fille trop bizarre, Reika entrecroisa ses bras comme si elle avait froid.

Aïdo ne sentait pas la présence insanne qui rejetait Ankan du tréfond de son âme, mais Reika oui... Et elle ne pouvait pas savoir que c'était une entitée démoniaque prète à tout pour semer le chaos et ennivrer Aïdo d'énergie chaotique pour le posséder. Aïdo réfléchit à la question de Reika, puis répondit d'un air peut conscient de ce qui se passait en lui.

- Et bien je ne sais pas. Peut être un courant d'air, mais je ne vois pas pourquoi tu aurais un frisson. Je ne vois pas trop.

Ankan lui savait, il entendait, voyait et comprenait vite... Il avait compris que la jeune demoiselle avait quelque dont caché. Elle avait sentit sa présence enchainé, ce qui fit bien ricaner intérieurement Ankan. Aïdo lui ne ressentait encore rien, maios cela ne saurait tarder, car l'heure approchait ou il irait vers le puit, et Ankan le savait.

- Enfin bon c'est peut être juste une impression ensuite... Même si je t'avourais qu'il m'arrive parfois d'avoir des hallucination de temps à autres. Alors des fois en effet je me demande ce qui m'arrive, donc les drôle d'impression t'en fait pas j'ai l'habitude.